Nous braquons les projecteurs sur le Dr Louis-Pier Deslauriers, dentiste généraliste à la Clinique Dentaire St-Gabriel à St-Gabriel-de-Brandon au Québec. Le Dr Deslauriers fait la lumière sur son rôle en tant que représentant de ses collègues partenaires, l’importance de la formation afin d’offrir des soins exceptionnels à la patientèle, et fait part de sa passion pour la voile.
Veuillez nous résumer votre expérience professionnelle au sein de l’industrie.
J’ai obtenu mon diplôme de l’Université de Montréal en 2008, et peu de temps après j’ai rejoint la clinique de mon père. J’ai repris la clinique il y a environ huit ans et je me suis ensuite associé à dentalcorp. Ma femme est également partenaire, et nous avons ouvert une deuxième clinique à St-Gabriel.
Qu’est-ce qui vous captive le plus dans le fait d’être membre du Conseil consultatif des partenaires de dentalcorp (CCP)?
La possibilité d’être en contact avec l’équipe de la haute direction afin de connaître ce qui se passe au sein de l’organisation et de l’industrie. De plus, l’occasion de m’exprimer librement et de donner mon avis est précieuse, et me permet d’être la voix des autres partenaires du Québec.
Quelle est l’incidence du CCP sur les soins à la patientèle au Canada?
Il y a eu de très bonnes discussions concernant l’éthique des praticiens, les programmes d’implants et d’orthodontie, ainsi que sur la formation disponible pour les associé(e)s et les partenaires. Le CCP est une excellente initiative, et je suis optimiste quant à son incidence qui continuera de croître dans les années à venir.
Qu’est-ce qui vous a motivé à vous impliquer auprès du conseil?
J’ai rejoint le CCP dans le but de parler au nom de mes pairs. J’ai apprécié avoir l’occasion de m’impliquer davantage au sein du réseau et toutes ses composantes en mouvement. Je souhaite avoir une incidence sur l’industrie tout en tirant parti de la philosophie de dentalcorp.
Pensez-vous qu’il existe des perturbateurs importants pour l’industrie qui se profilent à l’horizon?
L’intelligence artificielle sera un perturbateur considérable. Nous devrions réfléchir de manière proactive aux moyens par lesquels nous pourrions exploiter la technologie à des fins bénéfiques. Pour l’instant, je ne m’en inquiète pas vraiment. Selon-moi, nous en sommes encore à quelques années. En ce moment, lorsque je pense à la prochaine décennie, la pénurie de main-d’œuvre dentaire est la plus grande inconnue à l’horizon.
Comment la dentisterie organisée a-t-elle influé positivement sur notre industrie au Canada?
J’aime ce que je vois. Il y a une véritable volonté et un plan pour mettre en place des soins exceptionnels à la patientèle, et dentalcorp travaille dur pour former efficacement ses fournisseurs. Nous nous assurons de prodiguer à notre patientèle des soins de qualité en formant notre personnel, nos assistant(e)s dentaires, et nos hygiénistes dentaires. L’organisation consacre également de nombreuses ressources à la conformité, alors qu’une clinique individuelle peut parfois être un peu moins stricte.
Qu’aimez-vous faire dans vos temps libres?
J’adore faire de la voile; ma femme et moi allons habituellement sur l’eau pour naviguer lorsque nous avons du temps libre.